29 avril 2012 - Conversation avec Alain Cavalier... par lacinematheque
Je me suis trompé l'autre jour. J'ai inversé avec le 30 avril, et Libera me. Mais est-ce que ça a une importance ? Ici Cavalier montre comment il s'étend sur son lit d'hôtel sans enlever ses souliers, puis il montre des photos, la valise d'Orson Welles, des enfants qui dorment, entre autres. Il parle de son avidité de voir et d'entendre, comme de son obsession de disparaître, tout en laissant des traces, en arrachant des traces.
Le film du jour est Le filmeur (six extraits à voir sur Vodkaster).
Trouvé aussi aujourd'hui un entretien dans Hors-Champs, l'émission de Laure Adler, datée du 15 juin 2011. Mais je n'ai pas encore eu le temps de l'écouter. J'ai révisé mon texte, je joue, pour la quatrième fois, POK, d'Yvan Bernaer, jeudi pour les Nuits du Chameau. Générale demain, avec le soleil retrouvé (on espère).
Rue de la Fosse Belo |
2 commentaires:
Les nombres ronds sont une illusion comme...
J'aime cette phrase.
J'aime aussi la lettre de Schubert sur le blog de la Petite Librairie.
Et j'aime aussi que le soleil soit de retour.
Il va falloir que je t'envoie les papiers de cet homme qui se dit mathématicien et physicien, céréalier de Reully, et qui avait tout compris avant sa naissance, du proton etc...
Oui, elle est belle, cette lettre de Schubert. Le soleil s'est maintenu ici, et nous avons pu jouer en plein air comme prévu, avec, au début, le bêlement des moutons en arrière-plan sonore.
Le proton du céréalier, voilà aussi qui m'intéresse.
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