Dans la terre poursuivie de l'attente,
La glaise indécise sous le lit du ciel,
Je dois retracer le chemin
Avec l'orvet comme unique mesure.
Le soleil s'est couché au dos des étangs ;
Un foulque, un instant, a piétiné l'ombre :
Il était temps pour nos yeux de partir,
Partir avant l'arrivée sombre du sang.
La glaise indécise sous le lit du ciel,
Je dois retracer le chemin
Avec l'orvet comme unique mesure.
Le soleil s'est couché au dos des étangs ;
Un foulque, un instant, a piétiné l'ombre :
Il était temps pour nos yeux de partir,
Partir avant l'arrivée sombre du sang.
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