Un ancien boxeur** professionnel, ancien champion de France des lourds-légers, y aurait même exercé le noble art (enfin, il aurait quelque peu oublié les règles dudit noble art car il semblerait qu'il a aussi généreusement distribué quelques coups de savate). Ce qui lui a valu une remontée de bretelles de sa Fédération, et lui vaudra sans doute, pour compenser, une descente de police à son domicile.
L’individu qui a attaqué des CRS sur le pont des Arts samedi est un ancien boxeur qui n’est plus licencié depuis 2013. Avec la @FF_Boxe nous condamnons son attitude contraire aux valeurs du noble art et apportons notre soutien aux policiers agressés. pic.twitter.com/3peZIVFc1b— Roxana Maracineanu (@RoxaMaracineanu) January 6, 2019
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* Les deux derniers loustics ne crachaient pas sur le jaune, si l'on en croit par exemple Guillaume Maujean :" Il (Blondin) avait un faible pour le jaune. Le pastis 51, qu'il commandait toujours double en réclamant un «102"."(Les Echos, 01/07/2016). Vidalie, compagnon de bordée de Blondin, ne devait pas être en reste. Quant à Green, aucune réputation de poivrot n'est à signaler, mais j'ai vu deux films de lui (Toutes les nuits, Le Pont des Arts) où il tient un bistrot (le Café Glauque). C'est louche.
** [Ajout du 8 janvier]. Ce matin, il me revient que j'ai inventé un personnage de boxeur cogneur de pandores : c'était dans la fiction 1913, sur le site des Tasons :
"Hélène Deville en avait gros sur la patate. Son champion se faisait proprement laminer par Paoli. Le colosse moustachu avait déjà expédié par deux fois au tapis Henri Farinaud, l'anar des rings, le cogneur de pandores. Il était reparti chaque fois vaillamment au combat, mais Paoli avait du plomb dans les gants, ce titre de champion de France, il en sentait le fumet exquis, il en avait l'écume aux lèvres. "
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