Le dernier billet a été d'une bonne longueur, celui-ci à l'inverse sera court. C'est que j'ai le souci du lecteur, voyez-vous. Déjà que je l'épuise en lui proposant un bout de prose par jour, chaque jour de cette année 2017. L'épuise ou l'ai épuisé, car je ne me fais pas d'illusions, je suppose qu'ils ne sont pas nombreux celles et ceux qui m'ont lu avec régularité, patiemment, opiniâtrement, au fil de sujets variés qui ne les ont sûrement pas tous passionnés. Je leur demanderais bien de se faire reconnaître, qu'ils se dénoncent, nom d'un chien, si je n'avais pas peur de constater leur nombre infime... Une coterie, un groupuscule, de quoi faire une tablée de belote, une crapette, mais qu'importe, merci à eux, et aux robots, les bougres, qui sans mot dire viennent enrichir les statistiques, les rendant même parfois flatteuses. Il y a en effet des poussées de fièvre venant de Russie ou de Corée du Sud qui me laissent parfois pantois.
Bref, j'arrête là, car sinon adieu la bréfitude et la courtitude. Je vous livre simplement, histoire de souffler, une vidéo de l'INA, postée le 8 novembre sur le site de l'excellent Jérôme Leroy, plusieurs fois déjà mentionné dans ces pages. Une curiosité de 1967, mon année-phare vous l'avez compris. Un duo Jean-Claude Brialy - Anna Karina :
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